Bob Fraser - Ventes et service, Genesus Ontario

Canada - Capital et courage

Bob Hunsberger, Wallenstein Feeds, Sommaire économique de Hog, montre depuis huit semaines un renversement de fortune considérable et sans précédent avec une rentabilité allant de par porc avec une perte de production moyenne de (- $ 34.07) à un profit de 55.39 par porc avec une production moyenne. Une incroyable augmentation de 89.46 $ par porc en un temps record! Ensuite, avec la prochaine projection sur douze mois, passant de $ 20.98 à $ 70.10.

Dans mon dernier commentaire, j'avais suggéré «Peut-être que la cavalerie arrive juste à temps!» Cela semble maintenant être le moins que l'on puisse dire de l'année (décennie). J'ai également suggéré que, s'il n'y avait pas de flux de capitaux importants dans cette industrie, son déclin continu apparaissait inévitable. Et maintenant? La capitale entre maintenant (jaillit) et, bien que nous ayons connu une certaine volatilité sur le marché à terme, les liquidités ont poursuivi leur ascension à la hausse, je m'attends à ce que tous les producteurs aient les meilleurs rêves d'il y a deux mois. Par conséquent, la capitale sera là. Certainement, pour les douze prochains mois avec des attentes raisonnables pour une bonne période au-delà. Dans le passé, cela conduirait à une expansion, même massive. Est-ce différent cette fois? Suggérer des cycles et des tendances établis depuis longtemps «sont différents cette fois» prouve généralement le devoir d'un imbécile. Cependant, certaines choses à considérer.

Le courage est un autre élément très important de cette activité et des capitaux. Comme Jim Long a observé que les producteurs de porc n'avaient peur de rien. "Le peloton dans lequel vous voulez être pour aller à la guerre." Bien que sans peur ne signifie pas fou. La liste des problèmes qui pourraient survenir dans l’industrie semble toujours être plus longue que celle des problèmes pouvant survenir et de plus en plus longue.

Même en laissant de côté la possibilité d’un «cygne noir» d’ASF d’atterrir sur nos côtes, cette industrie semble être devenue beaucoup plus volatile. Dans le passé, qui aurait pensé que l'arrestation d'une Chinoise à Vancouver, d'un tweet aléatoire d'un président américain avait quelque chose à voir avec vous et votre gagne-pain? Comme nous en avons appris peut-être une quantité considérable. Cette situation, conjuguée à une réglementation sans cesse croissante, à des lourdeurs administratives, à des problèmes de main-d'œuvre, à des pressions croissantes sur l'environnement et le bien-être, rend certainement l'entrée ou l'expansion dans cette industrie pas pour les âmes sensibles.

Ici en Ontario, au moins un fournisseur de ballast contre tout cela a été terrestre. Le modèle intégré original du producteur de viande de porc de l'Ontario, de la terre à la viande de porc, du lisier au maïs et vice-versa, s'est avéré très stable et durable. L'appréciation formidable de ce pays, telle que décrite dans les tableaux ci-dessous, s'est avérée être un obstacle considérable aux tempêtes de la dernière décennie et au-delà. Certainement pour ceux qui sont à l'intérieur qui regardent. Ceux qui ont accumulé un territoire sur une période de temps raisonnable. Cependant, pour les nouveaux entrants, ce lest peut ressembler davantage à une ancre de bateau. Vingt mille dollars l'acre, plus les terres, s'ajoutant au coût d'une nouvelle exploitation porcine, pose de nouveaux défis. Cela nécessitera probablement au moins de nouveaux modèles si nous souhaitons voir de nouveaux joueurs. Nous en voyons déjà une partie alors que certains producteurs établis font preuve de créativité pour amener de nouveaux entrants dans l’industrie et peut-être résoudre certains de leurs problèmes de gestion et de main-d’œuvre.

Cette industrie reste toujours intéressante, mais nous espérons que la récente tournure des événements la rendra encore plus positive. 

Voir ci-dessous un résumé des RAPPORT SUR LES VALEURS FARMLAND DE FCC, publié le 29 avril 2019, qui couvre la période du 1er janvier au 31 décembre 2018

Tendance nationale

La valeur moyenne des terres agricoles canadiennes a augmenté de 6.6% à 2018, à la suite de gains de 8.4% à 2017 et de 7.9% à 2016.

Dans toutes les provinces sauf la Nouvelle-Écosse, la valeur moyenne des terres agricoles a augmenté. Le Québec a connu l’augmentation moyenne la plus forte (8.3%), suivi de la Saskatchewan et de l’Alberta (7.4%) et de la Colombie-Britannique (6.7%). Les autres provinces se situaient sous la moyenne nationale avec une augmentation moyenne de l'Île-du-Prince-Édouard de 4.2%, du Manitoba de 3.7%, de l'Ontario de 3.6% et du Nouveau-Brunswick de 1.8%. La Nouvelle-Écosse a enregistré une baisse de la valeur moyenne des terres agricoles de 4.9 pour cent.

Il convient de noter qu’à Terre-Neuve-et-Labrador, le nombre de transactions déclarées publiquement n’était pas suffisant pour permettre une évaluation complète de la valeur des terres agricoles. Lorsque l'on regarde les résultats nationaux, il est important de se rappeler que le nombre rapporté est une moyenne. Les différences entre les régions au sein de chaque province varient considérablement.

La source: https://www.fcc-fac.ca/home.html

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Cette publication a été écrite par Genesus